Gilles Petit
Journaliste, écrivain, Histoire, Sport
Né à Talence (Gironde) en 1946.
Père photographe, mère dentiste et
internationale de volley-ball.
En 1956, lycée Condorcet puis en 1964, je fais la connaissance de Georges Guétary, passionné de volley-ball, qui devient un ami intime, bien que nos musiques favorites ne se ressemblent guère.
Avec l’acteur Michel Constantin, également volleyeur, nous créons le match Artistes – Journalistes au stade Pierre de Coubertin à Paris.
Cet évènement attirera des milliers de spectateurs pendant 10 ans et accueillera toutes les vedettes françaises des années 60, de Brigitte Bardot à Lino Ventura
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En 1965, j'intègre l’école de cinéma de la rue de Vaugirard et en 1969, suis embauché par Claude Lelouch et Francis Lai pour travailler comme ingénieur du son avec Pierre Barouh, Jacques Higelin et Brigitte Fontaine.
Moment pour moi du passage à l'écriture et au journalisme. En 1970, j'entre au Service de la Recherche (futur INA), dirigée par Pierre Schaeffer, comme assistant son et commence à rédiger mes premiers articles pour L’ÉQUIPE en relatant les matches que je joue moi-même.
En 1974, je suis embauché par Jacqueline Joubert, la femme de Georges de Caunes et la mère d’Antoine de Caunes pour écrire des contes pour enfants. Je les raconterai en direct chaque mercredi sur antenne 2 (à présent France 2).
L'année suivante, je fais la connaissance de Georges Boudry, le président de la Fédération Française de Volley-ball et le convainc de créer une revue à destination de tous les licenciés.
En 1977, je quitte l’INA pour devenir grand reporter à L’ÉQUIPE.
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En 1984, après avoir crée la Fédération Française de Triathlon, je fais la connaissance d’un personnage extraordinaire. Il s’agit de Ruben Acosta, un avocat mexicain, qui va remplacer le français Paul Libaud à la présidence de la Fédération Internationale de Volleyball. Il va faire de cette Fédération une des plus riches de la planète. Et le suivre du Brésil au Japon et surtout dans les pays de l’Est – le Mur de Berlin n’est pas encore tombé – va me donner une envie accrue d’écrire. La manière dont cet homme a géré des dizaines de sensibilités politiques et culturelles différentes m’a ouvert un immense panel de personnages et de décors.
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En 1988, j'obtiens le Grand Prix Marie-Thérèse Eyquem puis en 1990, sort le roman Volley Rock aux éditions Laffont.
En 1992, je quitte L’ÉQUIPE pour devenir directeur de la communication à la Fédération Internationale de Volley-ball à Lausanne.
En 2010, je publie Cinquante ans de tocs paru aux éditions Persée.
Passionné d’histoire depuis toujours, j'achève et publie La Plume des Mauges aux éditions Nombre7 en 2020.
Gilles